De mangue en ananas, de vanille en gingembre, de Bedugul à Kintamani, de découverte en créativité, c’est au fil des rencontres qu’elle finit par enseigner ses recettes familales à sa nouvelle amie Wayan qui très rapidement et avec son soutien ouvre à Ubud une boutique/crêperie « Confiture Michèle », lieu bénéficiant tres vite d’une haute notoriété compte tenu de son accueil et de sa convivialité « à la française » , de ses confitures « à faible teneur en sucre et au vrai goût du fruit » cuites traditionellement dans les chaudrons de cuivre familiaux ramenés de France, de ses crêpes à la farine de sarrazin, et grace bien sur au charisme de Michèle, personnage atypique, toujours prêt à faire partager sa bonne humeur, sa passion pour les confitures et à venir en aide aux touristes de passage.
Malheureusement depuis ces trois dernières années, l’histoire de « Confiture de Bali » enfant légitime de « Confiture Michèle » au même titre que « Confiture d’Australie, du Cambodge, d’Ardêche, du Portugal ou d’Ailleurs » va prendre le chemin de ces belles histoires qui finissent mal.
Bientôt sur ce site, vous seront racontées les (mes)aventures de cette Française dont tout le monde se souvient qu’elle faisait des confitures à Bali et nul doute que d’épisode en épisode, d’espoirs en déceptions, plus d’un « expat »                                                                                             se reconnaîtra dans son témoignage.
« Confiture de Bali », c’est l’histoire de Michèle, amoureuse de Bali arrivée en 2010 pour préparer sa retraite et qui emportée par sa passion pour les fruits commence peu à peu à confiturer tous ceux qu’elle découvre au fur et à mesure de ses promenades sur l’île.
De mangue en ananas, de vanille en gingembre, de Bedugul à Kintamani, de découverte en créativité, c’est au fil des rencontres qu’elle finit par enseigner ses recettes familales à sa nouvelle amie Wayan qui très rapidement et avec son soutien ouvre à Ubud une boutique/crêperie « Confiture Michèle », lieu bénéficiant tres vite d’une haute notoriété compte tenu de son accueil et de sa convivialité « à la française » , de ses confitures « à faible teneur en sucre et au vrai goût du fruit » cuites traditionellement dans les chaudrons de cuivre familiaux ramenés de France, de ses crêpes à la farine de sarrazin, et grace bien sur au charisme de Michèle, personnage atypique, toujours prêt à faire partager sa bonne humeur, sa passion pour les confitures et à venir en aide aux touristes de passage.
Malheureusement depuis ces trois dernières années, l’histoire de « Confiture de Bali » enfant légitime de « Confiture Michèle » au même titre que « Confiture d’Australie, du Cambodge, d’Ardêche, du Portugal ou d’Ailleurs » va prendre le chemin de ces belles histoires qui finissent mal.
Bientôt sur ce site, vous seront racontées les (mes)aventures de cette Française dont tout le monde se souvient qu’elle faisait des confitures à Bali et nul doute que d’épisode en épisode, d’espoirs en déceptions, plus d’un « expat »                                                                                             se reconnaîtra dans son témoignage.